Le véritable parapluie de Cherbourg, produit authentique, symbole d’un vrai luxe à la française.


Les modèles se suivent et ne se ressemblent pas, l’anti-bourrasque, celui résistant à la grêle, et le dernier en lice, celui qui peut résister à un lancer de pavés, boules de pétanque mais aussi au feu ou autres acides.

Contrairement à ce que pourraient laisser penser des clichés cinématographiques, il n’existait pas jusque-là de fabrication de parapluies à Cherbourg. D’ailleurs, sur la quarantaine de spécialistes français de l’époque, il n’en reste que quatre. L’immense majorité des quatre millions d’objets achetés chaque année dans l’Hexagone sont importés de Chine.
Ancien photographe et commerçant, Jean-Pierre Yvon a décidé de se battre à contre-courant. Il a choisi le début de l’invasion chinoise pour monter de toutes pièces une manufacture française, à Cherbourg, financée en revendant l’hôtel particulier familial, dans les années 1990.

Cette petite entreprise qui confectionne « la Rolls du parapluie » écoule entre 10.000 et 15.000 pièces par an, pour un chiffre d’affaires proche d’un million d’euros. Du bel ouvrage, fait main, vendu entre 100 et 350 euros l’unité.

Le véritable Cherbourg a ses adeptes, fidèles, habitués au Bon Marché à Paris ou d’une vingtaine point de vente en France, la notoriété allant jusqu’au pays asiatiques (Japon,etc.). La marque équipe entre autre l’Elysée en parapluie, mais également de nombreuses autres personnalités.

La marque de référence internationale en matière de parapluie, utilise essentiellement des matières nobles (carbone, titane, aluminium ou encore du cuir).

Vous en procurez-un ? Voici l’univers


BASELWORLD

Le salon vient de fermer ses portes (31 mars), mais pas de panique, puisque chaque année au printemps, environ 2 000 sociétés des secteurs de l’horlogerie, de la bijouterie, des pierres précieuses et des branches annexes présentent leurs nouvelles collections et leurs innovations à Bâle. Les marques les plus prestigieuses du monde sont présentes exclusivement au Salon BASELWORLD.

Cette année, deux tendances fortes se sont affrontées. Face aux garde-temps rétro inspirés de modèles anciens, les montres noires, au look futuriste, gagnent du terrain.
Les plus grands noms de la bijouterie et de l’horlogerie étaient présents au Baselworld, dont Chopard, Hublot, Tag Heuer, Chanel, Patek Philippe ou Omega.

Cette année, l’événement a été inauguré par Monsieur Anand Sharma, Ministre indien du Commerce. L’occasion de se réjouir des perspectives jusqu’ici optimistes concernant la reprise du secteur du luxe, en particulier en ce qui concerne la demande des pays émergents en matière de Haute Horlogerie.

montre présente au BASELWORLDOn dit du prix des montres qu’il subit une forte hausse en raison de l’augmentation de celui des matières premières – or, platine, argent et acier inox, cela n’a pas empêché de constater une fréquentation en hausse de 2,5% par rapport à l’édition 2010, plus de 100 000 visiteurs ont été au rendez-vous pour cette grand messe du luxe.


Le savoir-faire à la française.

Fred Pinel, malletier.

( Pic Nic trunk – la malle du bonheur. En bois habillé de cuir, bijouterie en laiton massif nickelé, habillage cuir (au choix parmi 51 coloris), 11 tiroirs dans lesquels ont été placé les accessoires indispensables à un pique-nique au champagne livrés avec la malle.)

Le style Fred Pinel

Avec son style décalé, Fred Pinel marque de son empreinte le monde du design et de la maroquinerie de luxe et devient, grâce à son univers unique, une référence en matière de fabrication de malles. Fabriquées dans le respect de la tradition du luxe à la française, elles sont un clin d’œil aux secrétaires raffinés de style Louis XVI recelant de tiroirs secrets, et une interprétation de la malle cabine des années 30. Définissant son style par la couleur et l’audace, le designer propose des réalisations ludiques, un brin décalées, et toujours ultra colorées. Témoignant d’un nouveau luxe à la française, ces malles suscitent un savoir-faire qui sublime les matériaux nobles tels que le galuchat, ou la peau de crocodile, fabriquées dans son atelier parisien et vendues chez Colette à Paris ou Harrods à Londres (35 000 en moyenne), elles font un tabac chez nos petits milliardaires.

L’univers Fred Pinel

Sortez vos agendas
Sa première boutique ouvrira ses portes en mars 2011, Rue Royale à Paris !

« Un Art pour les gouverner, une Légende pour les trouver, un Rêve pour les amener et dans une Place les lier »

La place Vendôme

Typique de l’urbanisme classique français, c’est une des places de Paris les plus célèbres et considérée comme l’une des plus luxueuses du monde. Son architecture est due à Jules Hardouin-Mansartqui qui conçut en 1699 un plan d’urbanisme strict. Une grande partie des façades est classée monument historique. En son centre, se trouve la colonne Vendôme. Elle a été appelée place Vendôme dès le XVIIe siècle, du nom de l’Hôtel de Vendôme qui se trouvait là.

Initialement les joailliers-bijoutiers avaient investi la rue de la paix, prolongeant la rue de la Paix, la place Vendôme fut à son tour investie. Parmi ces grands classiques nous pouvons retrouver les incontournables :
Chopard, Mikimoto, Dior, BVlgari, Chaumet, Piaget, Chanel, Mauboussin, Van Cleef & Arpels, Cartier, Boucheron.

Une Maserati ? Une Bugatti ? Ou tout simplement une calèche entièrement recouverte d’or. Non, vous ne rêvez pas, la clientèle des très nombreux hôtels particuliers ne s’attache qu’à ce qu’il y a de mieux.

 

Vous ai-je parler du Ritz ?


Ancien Hôtel de Gramont, le lot fut acheté en 1705 par Antoine Bitaut de Vaillé, puis transformé en hôtel en 1897 par l’architecte Charles Mewès pour César Ritz. L’hôtel ouvre ses portes en juin 1898 et devient le lieu prisé de la bonne société mondaine. Le Ritz a accueilli de prestigieuses personnalités comme Coco Chanel qui y a vécu pendant plus de trente ans.
Le Ritz fait partie des sept palaces parisiens, et est répertorié dans de nombreux guides comme l’un des plus prestigieux hôtels au monde.


Quand Robert Dumas créa le Graal de ces dames.


Le luxe est là, dans l’exigence quasi irréelle qui gouverne le processus de fabrication de ce carré.

Grace Kelly avait fait de son carré en soie une prothèse médicale glamour, le transformant en écharpe pour son bras cassé. Quant à Meryl Streep, elle exige que son assistante aille lui en acheter par dizaines dans Le Diable s’habille en Prada. Depuis soixante-dix ans, le carré Hermès fait tourner les têtes. Celles des élégantes des années 40 tout comme, aujourd’hui, celles des modeuses de tout poil, qui le détournent en ceinture sur un slim blanc ou le nouent artistiquement à leur poignet, dans une version fine et raccourcie, le Twilly. Le carré Hermès n’est plus synonyme de snobisme ou d’allure rigide à l’élégance conventionnelle. Avec le temps son port s’est démocratisé, non pas qu’il ait infusé les différentes couches de la population, mais celles qui le portent n’hésitent pas à le désacraliser.

L’année de ses 70 ans, une nouvelle taille apparait, 70 × 70 cm, en clin d’œil à son âge, et dans une nouvelle soie dite « vintage », encore plus douce et plus souple. Depuis soixante-dix ans, ses techniques de fabrication n’ont quasiment pas changé et exigent minutie, patience, rigueur. S’il conserve son pedigree hautement huppé, et ce quelles que soient les couleurs dont il se pare, c’est qu’il nécessite toujours deux ans de travail et plus de 140 manipulations avant de se retrouver en boutique.

S’il-te plaît, Dessine-moi un carré

Tout commence donc par un croquis. Imaginé par un collaborateur de la maison, un artiste célèbre , ou un illustre inconnu. Ça se passe comme ça chez Hermès : une candidature spontanée, un petit mot accompagnant un dessin (dont on exige toutefois qu’il soit d’une précision avérée et scientifique) et il se peut que votre idée retienne l’attention. Au total, ce ne sont pas moins de 1500 modèles qui ont été conçus depuis le premier foulard Hermès de 1937, baptisé Jeu des Omnibus et Dames blanches. La plupart sont d’ailleurs régulièrement réédités. Les techniques de ces derniers ressemblent plus à celles de grands chefs cuisiniers qu’à celles de peintres sur soie. D’ailleurs, leur laboratoire est surnommé « la cuisine des couleurs ». C’est ici que l’on choisit pigments (dosés au demi-dixième de gramme près), tons répertoriés dans un nuancier de soixante-quinze mille couleurs, « mais sachant que l’on peut mélanger quarante couleurs mères à une ou deux autres dans des proportions de 99/1 à 1/99, les probabilités sont illimitées », expliquait récemment une coloriste à un magazine. Sélectionnées et mitonnées sur feu doux, les couleurs vont ensuite recouvrir les cadres de gaze auxquels elles correspondent et être appliquées sur une table d’impression longue de 120 mètres et recouvertes de soie venue du Brésil. Petit à petit, l’image finale apparaît. Vient alors le temps des finitions (bain de vapeur, lavage, rinçage), puis celui de la coupe et des ourlets « roulottés » à la main. Au total, il aura fallu cent quarante manipulations, cent quarante gestes différents, et entre cinq cents et huit cents heures de travail – les artisans en ont même compté mille quatre cents pour le carré Jardins secrets.

On comprend alors pourquoi cet objet culte coûte, dans sa version « standard » de 90 × 90 cm, la somme de 290 €. On comprend aussi pourquoi, instinctivement, il revêt une certaine charge affective et émotionnelle tant sa création aura été entourée de soins et d’efforts. Notons qu’il s’en vend un dans le monde toutes les trente minutes.

L’histoire

C’est en 1837 que Thierry Hermès s’installe à Paris. 30 ans plus tard, l’excellence de son travail lui fait obtenir la médaille première classe lors de l’exposition universelle de 1867. Cela propulse alors la maison Hermès sous les feux de la rampe, le Tsar Nicolas 2 lui commande nombre d’harnachements et de selles d’exceptions. Hermès peu à peu rayonne du prestige de ceux qui sont devenus ses clients attitrés : les rois et présidents du monde entier.
Nous sommes au début du vingtième siècle, les chevaux cèdent la place aux automobiles. Hermès se tourne alors vers la carrosserie et commence à exporter. C’est lors de cette période qu’Adolphe et son frère Émile Maurice développent Hermès et le positionnent sur le secteur de la maroquinerie. Sacs, ceintures et gants deviennent la vitrine de la griffe. C’est de cette émulsion créative que naît en 1937 le fameux carré Hermès. Robert Dumas crée un foulard de quatre vingt dix centimètres de côté qu’il appelle le Carré Hermès : le Jeu des omnibus et des dames blanches. Hermès n’a pas peur de bousculer un peu les codes sur le plan artistique. C’est ainsi qu’on a vu apparaître à la direction artistique de la soie féminine la pétulante Bali Barret, qui a dépoussiéré les choses, elle a abordé l’épineux sujet « carré » avec simplicité et franchise. Pour qu’un produit, tout iconique qu’il soit, traverse les âges sans prendre une ride, il faut le descendre de son piédestal et le faire vivre dans son temps. Pour elle, le carré Hermès doit être le lieu où l’expression artistique diverse et variée peut s’exprimer en toute liberté et raconter une histoire…


« La Ford de CHANEL »

Pour la jeune modiste, 1926 est une année faste qui voit la naissance de bon nombre des tenues emblématiques de la maison. Gabrielle Chanel impose la « petite robe noire ». En contradiction totale avec la mode de l’époque, elle séduit par sa simplicité. Premiers conquis : les critiques du magazine américain Vogue voient en elle « l’uniforme de la femme moderne ». La petite robe noire est baptisée « la Ford de Chanel », référence au fleuron américain de l’automobile.

Mythique, intemporelle, must-have, autant d’adjectifs qui caractérisent la petite robe noire. Symbole d’une élégance à la française, elle a épousé les courbes des plus grandes stars. Elle n’est plus un symbole de deuil mais de mode. Une pleine page dans Vogue Paris qui symbolise le fameux pied de nez de Mademoiselle Chanel au créateur Poiret. On raconte que lorsqu’il l’a vit vêtue d’une robe noire, Poiret se serait exclamé: « Mais de qui portez-vous le deuil, Madame ? » et Chanel lui aurait rétorqué « De vous, Monsieur. ».
C’est également en 1926 que Chanel introduit dans ses collections, l’imperméable (le tweed) et le blazer à boutons dorés. Peu à peu, les codes de la maison se mettent en place. Ce symbole de sobriété a désormais été repris par Karl Lagerfeld.



Divine essence.

« Parce que là ou certain pense atteindre l’apogée, un monde démesuré se cache derrière. »

Dans la quête pour obtenir la fragrance la plus exquise, Clive Christian a présenté,  No.I Imperial Majesty. Son processus de fabrication dure un an et il nécessite à peu près deux cents ingrédients comme le santal, le jasmin et diverses variétés de roses. Egalement distingué, le récipient de cette oeuvre d’art, un flacon en cristal de la marque Baccarat, un diamant de cinq carats et un collier d’or 18 carats. L’élaboration de chacun des flacons est tellement sélective, que toutes les trois bouteilles qui se fabriquent, on en choisit seulement une, celle qui sera parfaite, et l’on jette les autres. Tout un luxe qui atteint sur le marché 200.000 euros, disponible exclusivement chez Harrods, à Londres et Bergdorf Goodman à New York.  C.T

Voilà le site pour plus d’information http://www.clive.com/


« I just came to say HELLO »

Voilà, aujourd’hui 5 janvier je crée ce blog, je ne sais pas exactement dans quoi je me lance, mais je décide de me plonger dans l’aventure.
Ce blog portera essentiellement sur les grands classiques du luxe

Je vous laisse découvrir !
HAVE FUN!


«Tout est provisoire et tout s’achète. L’homme est un produit comme les autres, avec une date limite de vente.»
( 99F )

Lire la suite